VIA LORENZO

QUI SOMMES NOUS?
VIA LORENZO, importateur d’accessoires de mode installé à Nantes depuis 2000 détient une des plus riches collections françaises de foulards incluant écharpes, chèches, étoles et paréos.


L’entreprise dispose également d’un département chapeaux, bonnets, gants et un autre de bijouterie fantaisie.
En outre, VIA LORENZO est devenu en quelques années le leader européen du chapeau réglable.

VIA LORENZO a rapidement gagné la confiance de grossistes et de centrales d’achat sur plusieurs continents, du Canada au Danemark et de la Grèce au Maroc.

NOTRE (PETITE) HISTOIRE
1991 Le fondateur de Via Lorenzo débute dans le métier en tant que commercial.
1995 Création d’une agence de distribution de foulards italiens en France
2000 Création de Via Lorenzo en tant qu’importateur d’Italie.
2002 Démarrage du grand-import sur l’Inde, l’Indonésie et le Népal.
2003 Élargissements des achats à nombre de pays tel que l’Argentine, les Philippines, la Corée, la Thaïlande, la Chine, Taiwan.
2005 Passage à l’export sur la Belgique, l’Espagne, la Suisse, le Luxembourg puis, plus récemment le Danemark, le Canada, la Grèce,…
2006 Participation au premier salon « Intersélection Paris » suivi du « Who’s Next Paris ».
2010 Création du département chapeau.
2012 Déménagement dans des locaux neufs et plus spacieux. Dotation d’un nouveau système informatique et logistique….
2015 Création d’une cellule de produits promotionnels (cadeaux clients, comité d’entreprise, objets publicitaires).
2016 Fusion-acquisition de la société Kalyxo.

Historique du marché accessoire
L’accessoire de mode s’est développé au début des années soixante à la suite de la très forte volatilité des cours de l’or entre les deux guerres (l’or servant à l’effort de guerre) et de l’avènement de la bijouterie fantaisie avec l’évolution du niveau de vie après-guerre. Auparavant, seuls les accessoires « utiles » tels que les chapeaux, gants, foulards étaient vendus essentiellement chez les chapeliers et modistes. La pseudo-rareté de l’automobile portait la population à marcher plus souvent et donc à se protéger du froid. Cela n’empêchait pas d’établir des modes, bien au contraire, puisque nous avons pu assister à des tendances très fortes, notamment dans le chapeau.


Pour autant, il y a une quinzaine d’année, l’accessoire ne représentait que 2% de l’ensemble de la filière textile. En 2012, derniers chiffres officiels, il pesait 15% (Source : Industrie Textile). Il apparait que la progression actuelle est de 1% annuel ; ce qui amène à penser que nous sommes actuellement dans une fourchette de 16 à 19%. Un magasin de prêt-à-porter dont la part des accessoires représente moins de 17% perd donc inévitablement du chiffre d’affaire. D’autant qu’un accessoire (hors sac), prend en moyenne dix fois moins de place qu’un vêtement. Le rendement au mètre carré est donc bien supérieur.


Bien meilleure est également la marge qui s’établit à 0.5 point au-dessus du prêt-à-porter. Reste qu’un vêtement est souvent plus cher qu’un accessoire. Mais la bataille est systématiquement remportée par ce dernier si nous parlons en simple rendement au mètre carré.
Bien sûr, ce chiffre est partagé sur tout ce qui n’est pas de l’ordre du vêtement : ceintures, sacs, foulards, bijouterie fantaisie, chapeaux, gants, cravates et tongs. Dans ce marché, les évolutions se traduisent de manières divergentes.